August 1, 2024
La nuisette était semi transparente mais ne laissait rien apparaitre de ses parties intimes. Je lui dis que mon père n'allait pas beaucoup dormir ce soir quand il te verra dedans. Elle rigola et pour la 1ère fois elle croisa mon regard. A cet instant nous n'avons plus rien dis. A savoir qui allait dire le 1er mot. Elle n'a rien dit. Elle referma le rideau et se rhabilla. Elle a acheté les 2 premiers ensembles et la nuisette. Dans la voiture nous n'avons échangé que des banalités. A un moment, quand ca main fût sur le levier de vitesse j'ai posé ma main sur la sienne. Comme elle ne disait rien, ma main finit sa course sur son genou nu jusqu'à la maison. Une fois dans le garage avant de sortir comme aucun de nous 2 n'avaient parlé je lui dis que j'avais aimé notre je lui ai demandé si elle avait aussi aimé que moi. Elle me dit que j'ai aimé ou pas, ce n'est pas la question. Tu es mon fils et elle sortie. Durant la soirée on a fait comme ci de rien n'était mais quand nos regards se croisaient nous savions ou étaient nos pensées.

C'est un nouveau maillot me dis-je, il est assez sexy avec ces couleurs flashy et des bordures noirs. J'arrive à l'eau qui est froide en ce début d'été et maman me rejoins rapidement. -Oh elle est super froide! -Pas grave maman ça fait longtemps il faut en profiter. Et en plus avec les vagues ça va nous obliger à bouger. -Oui tu as raison. A peine sa phrase fini elle plonge sous la vague qui approche et j'en fais de même. Au moment où ma tête sort de l'eau, une autre arrive déjà, je respire vite et plonge à nouveau pour l'éviter. Ma tête ressort et je vois maman entrain de tousser. -Tu vas bien? -Oui oui ça va, j'ai juste été surprise par la 2ème! L'eau baisse un peu et je vois alors que son haut de bikini a disparu. C'est la première fois que je vois ses seins nus depuis mon enfance. Ils sont magnifiques, je dirais du 90B, voire C. La marque dé bronzage est fine, elle n'a pas encore bronzé cet été. -Dis maman, je crois que tu as perdu quelque chose dis-je tout rouge en pointant sa poitrine.

). A ce jour ma mère n'a jamais refait sa vie car trop nostalgique sans doute de ce seul homme qu'elle a connu dans sa vie et pourtant ce n'est pas faute d'avoir tout fait avec ma petite soeur pour la recaser. J'en ai beaucoup voulu à mon père et j'ai choisi de rester vivre avec ma mère trop "parfaite" car au moins elle l'était. Durant de nombreuses années, nos rapports ont été très tendus. Il a tout fait pour que tout soit comme avant mais j'avais toujours en tête qu'il avait abandonné ma mère pour une autre. [... ] Les années passaient et je devenais un beau jeune homme. Chaque nouvelle femme que mon père nous présentait, ma soeur et moi, on se faisait un plaisir de les dégager en quelques jours ou quelques semaines au grand maximum. A la longue ma soeur s'est lassée mais moi c'était toujours un énorme plaisir. Je me suis d'ailleurs posé la question si ce n'est pas par jalousie car elles étaient plus belles les unes les autres et toujours plus jeunes. J'ai eu 27 ans, il y a quelques semaines et mon histoire la plus sérieuse et la plus douloureuse a duré 2 ans.

En soirée je suis sortie avec des amis. Je suis rentré vers 23h30. Mes parents étaient allongés dans le canapé. Je leur ai dis bonne nuit et je suis monté dans ma chambre. Quelques instants après quelqu'un a frappé à ma porte et ma mère est entrée alors que j'étais torse nu. Elle me dit que mon père était parti prendre sa douche. Oui j'ai aimé notre baiser cet après-midi, je n'ai pensé qu'a ca toute la soirée mais on ne doit pas, elle n'a pas eu le temps de finir sa phrase nous étions déjà entrain de nous enlacés. Ces mains découvraient mon corps et pour ma part j'osais passés les miennes sous son chemisier afin de découvrir ces courbes. Après quelques minutes elle me repoussa doucement et elle me dit qu'elle devait y aller au cas où mon père sortait. J'ai eu du mal à dormir cette nuit là. Au matin je me suis levé en même temps que mon père. Nous avons déjeunés ensemble puis nous nous sommes préparés pour aller au Lycée pour moi et lui bosser. En montant j'ai croisé ma mère qui se levait, elle me fit la bise avec un petit sourire en coin.

Puis ma mère se leva. Elle se déshabilla, retira sa culotte. — Bon, je crois que c'est bon, là, hein Philippe? Je crois qu'il est prêt, notre fils! Ca te gêne pas si on baise un peu? — Bien sûr ma chérie! Régale toi! Alors ma mère s'allongea sur le tapis, à même le sol, jambes bien ouvertes, prête à recevoir ma queue. J'étais fasciné par cette chatte, avec ses belles lèvres roses qui s'ouvraient sur une fente admirable. Une fente qu'enfin j'allais pouvoir visiter, après tant d'années d'attente. — Je peux y aller, maman? j'ai trop envie! — oui mon chéri. Vas y. Moi aussi j'en ai envie. Je suis désolée de t'avoir fait attendre. Mais je suis ta mère, il était de mon devoir d'attendre le bon moment, tu comprends?... — Je sais maman, pas de problème... — Bien! Allez, rentre la, ta queue! Alors avec délice je poussais mon engin à l'intérieur de l'accueillante chatte maternelle. Quel bonheur! Je comprenais pourquoi les hommes de la famille appréciaient tant ma mère. Sa chatte était d'une douceur, d'une chaleur, d'une hospitalité incroyable.

Je savais qu'elle serait fière de moi. Elle criait son plaisir et moi je sentais que ça ne servait à rien de me retenir plus longtemps. — Maman, je vais jouir aussi!!! — Oui, vas y mon chéri, jouis dans ta maman, inonde moi de ton foutre! Et je me lâchais dans une jouissance incroyable... Enfin, j'avais baisé ma mère. Mon fantasme d'adolescent était réalisé. J'était heureux. Dorénavant, je savais que plus jamais ma mère ne refuserait de recevoir l'hommage de son fils qui l'aime...
Mousseur Économie Eau Robinet