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"Dans ma précédente vie, j'étais ingénieure technicienne spécialisée dans les réseaux de chauffage et climatisation en Italie. Et aussi experte dans le domaine de la protection incendie de bâtiments. Un milieu qui comptait 2, 7% de femmes. Puis, j'ai eu envie de travailler dans les métiers de bouche. Métiers et commerces de bouche - Communiqué de presse - INRS. " Après 50 ans passés à Turin, Luisa Delpiano Inversi, Italienne d'origine française, pose ses valises à Menton où elle fonde une société de fabrication artisanale de pâtes: Pasta Piemonte. C'était il y a huit ans. Après un an de formation aux côtés d'un artisan de Cuneo, elle trouve un local, crée le laboratoire. "J'ai dû aussi apprendre la comptabilité, le droit du travail. Avec mon fils, qui travaille avec moi, nous avons eu l'idée de faire des raviolis au citron de Menton. Nous sommes partis de zéro. " "Porter jusqu'à 25 kg, le poids d'un sac de farine" Luisa aide son fils le matin au laboratoire, tient la boutique, réceptionne les sacs de farine et, à bientôt 60 ans, assure toutes les livraisons.
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Ceux de Joël Robuchon (32, rue de Longchamp, tél. : 47-27-12-27) et quelques autres. * Plus rare encore peut-être que les bons pains, le bon café. Claude Lebey, qui, dans son petit Guide des restaurants de Paris, les distingue par une, deux ou trois tasses, ne me contredira pas. Le Château d'Artigny (à Montbazon, tél. : 47-26-24-24) propose une carte des cafés qui pourrait être un modèle. Gérard Vié (les Trois Marches, 3, rue Colbert, à Versailles, tél. : 39-50-13-21) également. Expert dans un metier de bouche. A Paris, entre autres, je citerai le Jules Verne (Tour Eiffel, tél. : 45-55-61-44), le Grand Café Capucines (4, bd des Capucines, tél. : 47-42-75-77), Joël Robuchon déjà cité pour ses pains. Mais je ferai surtout une remarque (qui est aussi un reproche): sur 80% au moins des cartes, le prix du café n'est pas indiqué! Ou alors sur la carte des vins, que l'on ne consulte point au moment de la commande. * Les vins, justement! Ils sont de plus en plus chers, à l'achat. Et comme les restaurateurs multiplient par quatre (et quelquefois plus) le prix de la bouteille...
Magazine complet à retrouver ici. Automne 2017, au Centre de formation d'apprentis (CFA) de Joué-Lès-Tours (Touraine). Lazar Javorac, un col blanc même pas trentenaire, change de vie: « J'avais 27 ans quand j'ai entamé ma reconversion. À l'époque, je travaillais dans le marketing. Expert dans un metier de bouche.fr. J'en étais à ma cinquième boîte en cinq ans et je commençais à me demander à quoi je servais. Mes études qualitatives sur les consommateurs étaient ignorées, mes propositions étaient boudées. Ce qui comptait, c'était les chiffres, les résultats à très court terme. » Et puis, au-dehors, il y avait ces métiers de la bouche qui l'attirent depuis toujours. Peut-être pour leur caractère manuel ou parce qu'il aime bien cuisiner, il ne sait pas exactement. Quoi qu'il en soit, après avoir hésité un temps entre boulanger et boucher, Lazar opte pour le second.