Poème Pollution Monde
Pollution par Salus Couche à couche, louche et moche, Le déchet choit et s'arroge La prime place au vieux sol - Dans l'eau fuit le diphénol - A l'air aigre où s'évapore Le vent, l'on hume la spore Irradiée au poison Produit partout à foison Dans la centrale électrique Où tout claque, grille et clique! Les plus beaux Poèmes sur la NATURE, la VIE, l'AMOUR • A découvrir.... Et l'entier suc du plastoc Dans la glèbe, sous le soc De la charrue ensemence La récolte qui commence, Dans le brut et le fumier, A pousser, près du hallier Dont les buissons dépérissent, Où les pieds d'arbres pourrissent Sous l'action de métaux lourds Saturant mares et gours. Et la particule insane Fait qu'enfin toute fleur fane Dans l'orde prairie éteinte Que de suie on dirait teinte! De plus, l'effet de chaudière Active la pétaudière Créée au vert paradis Dont les veines, bras raidis, Coulent d'une eau dégoûtante Qui nulle soif ne contente!
Poème Pollution Monde 2014
Je suis attristée Et puis alarmée De toute cette misère Qu'il y a dans l'univers Quand les guerres prendront-t-elle fin?
Femmes d'Ouessant Poèmes de René-Guy Cadou Citations de René-Guy Cadou Plus sur ce poème | Commenter le poème | Imprimer le poème | Envoyer à un ami | Voter pour ce poème | 656 votes Ce n'est peut-étre pas le tribut que réclame Un coeur profond et délicat, Cet amour allongé qui vient comme une lame Frapper la rive avec fracas. Ne pouvant pas comprendre et juger ce qu'on aime, On ne fait que doubler son coeur; On est comme on voudrait que l'on fût pour soi-même; Mais l' abondance a ses erreurs! Poèmes | Wiki De la propreté | Fandom. - Ne livrons pas à ceux qu'un faible élan contente L ' univers que nous possédons; Transmettre, en exultant, l' espace qui nous hante Est un fardeau autant qu'un don. La passion contient l' amour avec la hargne, Et son orage est maladroit Peut-être faudrait-il que parfois l'on épargne Les coeurs étonnés d'être étroits! Déguisons la fierté de nous sentir prodigues; - Que pèse notre orgueil du feu Devant la pauvreté de notre être qui brigue La faveur d' obtenir un peu! Devenons attentifs à ces âmes choisies Que l'on goûte à travers leurs corps Contraignons, en souffrant, l' altière fantaisie, - Aimer moins est si fort encor!