July 11, 2024

Strophe 1 1. Que ne puis-je, ô mon Dieu, Dieu de ma délivrance, Remplir de ta louange et la terre et les cieux, Les prendre pour témoins de ma reconnaissance. Et dire au monde entier combien je suis heureux. Strophe 2 2. Heureux quand je te parle, et que de ma poussière, Je fais monter vers Toi mon hommage ou mon vœu, Avec la liberté d'un fils devant son père, Et le saint tremblement d'un pécheur devant Dieu. Des preuves de l'existence de Dieu. Strophe 3 3. Heureux, lorsque, assailli par l'ange de la chute, Prenant la Croix pour arme et l'Agneau pour Sauveur, Je triomphe à genoux, et sors de cette lutte, Vainqueur, mais tout meurtri; tout meurtri mais vainqueur! Strophe 4 4. Heureux, toujours heureux! J'ai le Dieu fort pour Père, Pour frère, Jésus-Christ, pour conseil, l'Esprit-Saint: Que peut ôter l'enfer, que peut donner la terre À qui jouit du ciel et du Dieu trois fois Saint? Texte de Adolphe Monod AF048. Que ne puis-je ô mon Dieu.

Que Ne Puis Je O Mon Dieu Trinite Que J Adore

Que peut ôter l'enfer, que peut donner la terre, À qui jouit du ciel et du Dieu Juste et Saint? Published by Refuge Protestant Refuge Protestant, - dans Chants Adolphe Monod

Que Ne Puis Je O Mon Dieu

» et la lumière fut, S'abaisse jusqu'à moi, m'instruit et me console, Et me dit: « c'est ici le chemin du salut! ». Heureux quand je te parle, et que de ma poussière, Je fais monter vers Toi mon hommage ou mon vœu, Avec la liberté d'un fils devant son père, Et le saint tremblement d'un pécheur devant Dieu! Heureux, lorsqu'en ton jour, ce jour, qui vit éclore Ton œuvre du néant et ton Fils du tombeau, Vient m'ouvrir les parvis où ton peuple t'adore, Et de mon zèle éteint rallumer le flambeau! Que ne puis je o mon dieu existe. Heureux quand sous les coups de ta verge fidèle, Avec amour battu, je souffre avec amour; Pleurant, mais sans douter de ta main paternelle; Pleurant, mais sous la croix; pleurant, mais pour un jour! Heureux, lorsque, assailli par l'ange de la chute, Prenant la Croix pour arme et l'Agneau pour Sauveur Je triomphe à genoux, et sors de cette lutte, Vainqueur, mais tout meurtri; tout meurtri, mais vainqueur! Heureux, toujours heureux! J'ai le Dieu fort pour Père, Pour Frère, Jésus-Christ, pour conseil, l'Esprit-Saint!

Que peut ôter l'Enfer, que peut donner la terre, À qui jouit du ciel et du Dieu trois fois Saint?

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