Poème Du Moyen Âge 4 Lettres
Poeme Du Moyen Age 8 Lettres
l'essentiel À l'occasion des visites "Lumières sur le patrimoine", organisées par l'Office de tourisme Cahors - Vallée du Lot, le château de Cénevières dévoile des mystérieuses peintures dans son cabinet d'alchimie. L'occasion de faire un petit tour des particularités de ce château. "Embarquez avec moi pour découvrir ce qui recouvre les murs de ce drôle de cabinet d'alchimie", Valérie Noyer, guide touristique, entraîne les visiteurs à découvrir les peintures, inspirées des Métamorphoses d'Ovide, qui ornent cette pièce particulière au sein du château de Cénevières. "Les gens passent très rapidement ici et ne prennent pas le temps de lever les yeux", explique la guide. Voilà pourquoi des visites spéciales leur sont consacrées. Poème du moyen âge amour. Il faut se replonger au temps des guerres de Religion, entre le XVIe et le XVIIe siècles, pour comprendre leur origine. À l'époque, c'est Antoine de Cardaillac (anciennement de Gourdon), lieutenant d'Henri IV, qui détient le château. Entre vestiges du Moyen Âge, ailes de la Renaissance inspirées des palais italiens...
", sourit-elle. C'est d'ailleurs à ce moment-là qu'une visiteuse tente de percer le mystère d'une des 18 scènes, tellement effacée qu'il est difficile de savoir ce qu'elle représente. Un château rempli de mystères Les peintures ne sont pas le seul détail mystérieux sur lequel il faut s'arrêter. Il faut aussi prendre un peu de recul pour observer le cabinet d'alchimie, et notamment sa particularité. Son four d'Athanor. "Ce n'est qu'une hypothèse, mais j'aime imaginer que si le cabinet d'alchimie a été placé là, dans cette tour destinée à la guerre, c'est qu'il servait à réaliser des remèdes", rêvasse Valérie Noyer. Le fameux four d'Athanor. C'est Patrick de Braquilanges, aujourd'hui propriétaire, qui conte quelques autres particularités tout en se baladant à travers des couloirs chargés d'histoire. En 1973, il fait une découverte inattendue. Lot : à la découverte des mystères du château de Cénevières - ladepeche.fr. Après des jours de pluie, une couche de plâtre s'effrite sur le mur du grand salon. Des dessins représentant la vie à Constantinople apparaissent gravés.