July 6, 2024
C'est avec plaisir que la boutique des Cordons vous propose le livre/CD regroupant 4 contes kabyles de mon enfance. Un livre/CD de Hamsi Boubeker Une coproduction entre l'artiste et Cordon Musical asbl. "Amma-Chaho", dit la grand-mère. "Aho", répondent en choeur les enfants. C'est par la voix des femmes que se déploie depuis des générations, le fabuleux cortège des bons génies, ogres et sorcières, des paysans et des sultans, des animaux venus d'un monde où ils parlaient encore. Voici Tseriel, l'ogresse aux cheveux dressés jusqu'au ciel, Settoute la sorcière et Aîcha, lointaine cousine du Petit Chaperon Rouge. Ruse, innocence, magie, courage, beauté, humour, bonté, générosité, autant de moyens mis en oeuvre pour contrer l'adversité. 1. Le citronnier du roi et le coffre de la reine 2. Le vieux, l'enfant et la canne 3. Aïcha, l'ogre et père Inouva 4. Les trois fils et le trésor Quatre histoires pour plonger le jeune public et les parents dans le monde universel des contes. Plus d'infos sur En vente sur la boutique HISTOIRE - AICHA, L'OGRE ET PERE INOUVA Pour fêter la multiculturalité, OUFtivi propose la version arabe du conte du Petit Chaperon rouge.
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Hamsi Boubeker: Contes Kabyles de mon enfance C'est avec plaisir que la boutique des Cordons vous propose le livre/CD paru en février 2014 et regroupant 4 contes kabyles de mon enfance. Un livre/CD de Hamsi Boubeker. Une coproduction entre l'artiste et Cordon Musical asbl. Quatre contes Texte, adaptation, illustration: HAMSI Boubeker Musiques et arrangements: HAMSI Boubeker Écriture: Ghislaine VANDERDUSSEN & Cathy CONSTANT 1/ Le citronnier du roi et le coffre de la reine (nouveau conte) 2/ Le vieux, l'enfant et la canne 3/ Aïcha, l'ogre et père Inouva 4/ Les trois fils et le trésor Nouvelles illustrations On connaît le parcours créatif pictural de HAMSI Boubeker. Pour cette nouvelle édition, il nous propose de nouvelles illustrations. Cette fois, c'est à l'aide de l'ordinateur qu'il crée la rencontre entre les personnages traditionnels et les visuels contemporains. Nouvelles musiques HAMSI Boubeker, a été auteur, compositeur, avant de se lancer dans la peinture. C'est pourquoi, il a lui-même composé, arrangè les nouvelles musiques, et pour la première fois, il a voulu introduire des instruments plus classiques, tels que le violoncelle, le violon, le piano ou la flûte traversière.

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C'était durant cette année aussi que mon père quitta malgré lui Mendès, expulsé par les soldats français. Il abandonna tout ce qu'il possédait. Un magasin plein de marchandises, des machines à coudre, une bonne et fidèle clientèle et des amis. Le fruit de plusieurs années de labeur et de privations partait en fumée. Il rentra au village vieilli et ruiné, avec une valise presque vide et une canne. Il resta quelques jours parmi nous et le peu d'argent qu'il avait économisé fondît comme neige au soleil. Il lui fallait trouver une solution pour faire face à toutes les obligations familiales et décida de se rendre à Alger pour chercher du travail. Il en trouva un comme vendeur-placier chez un fabricant de chaussures juif. Mon père, qui était commerçant libre, devenait salarié, soumis à des horaires et à un patron, ce qu'il détestait le plus. Mais il lui fallait gagner sa vie et subvenir aux nombreux besoins de sa famille. Pour elle, il acceptait tous les sacrifices. Et puis les coups du sort, ce n'était pas la première fois qu'il en recevait.

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Pendant que la plupart des villageois illettrés faisaient de leurs enfants des bergers potentiels, eux bien avisés, guidaient leurs progénitures vers les chemins escarpés de la connaissance. Au déclenchement de la guerre en 1954, j'avais sept ans. Les gosses du village comme moi, dans notre insouciance, ne pouvions pas nous rendre compte de la gravité de la situation. Un grand drame se préparait à notre insu. Après les attentats déclenchant du 1 er Novembre dont je ne me souviens que vaguement, rien ne prédisait de la suite tragique des évènements qui allaient, sept ans et demi durant, marquer d'une manière indélébile notre vie et celle de notre pays. L'opération "Jumelles", déclenchée par l'armée française pour "nettoyer la Kabylie comme ils le disaient", nous causa un grand traumatisme. La brutalité des opérations et des exactions commises par les bérets rouges du 3ème RPC de Bigeard sont à jamais inscrites dans l'histoire de notre village. Le crépitement des balles, qui ont tué Da Bélaïd un beau matin de juillet 1959, résonnent encore dans mes oreilles cinquante ans plus tard.

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Auteur principal: recueillis par Leo Frobenius Merci de patientier

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Depuis plus d'une semaine, la jeune écrivaine Hayet Hedjem dédicace ses ouvrages à la bibliothèque communale de Draâ El-Mizan. Dans cet entretien, elle parle, à l'occasion de la sortie de sa nouvelle «Le rocher de Teryel», aux éditions El Amel de Tizi-Ouzou, de son aventure qui commence dans le domaine de l'écriture. La Dépêche de Kabylie: Pourriez-vous nous parler de vous? Hayet Hedjam: Je suis née à Maâmar dans la commune de Draâ El-Mizan. Après mes études primaires jusqu'au secondaire dans ma région natale, je me suis inscrite à l'université Mouloud Mammeri dans la filière langue française, après mon Bac. Juste après l'obtention de ma licence, je me suis lancée dans l'écriture, car c'était un rêve d'enfance. Pour moi, c'est une manière de partager des histoires réelles ou imaginaires à travers le monde avec autrui. J'étais également fascinée par les contes qu'on a étudiés, notamment au primaire et au cycle moyen. A quand remonte votre première expérience? C'était en 2017 avec la parution de mon premier recueil de poèmes chez Edilivre.

Il était réputé pour ses coups de sécateur. En un rien de temps, d'un tronc touffu et rabougri, il vous en faisait sortir un arbre tout rajeuni. Les gens du village se disputaient ses services qui étaient bien entendu gratuits. A la fin de la journée, malgré la fatigue, il n'omettait pas d'aller visiter tous les pièges qu'il avait posés. Il rentrait à la maison le capuchon de son burnous plein de grives et d'étourneaux bien gras que ma mère, après les avoir plumés, faisait griller sans les vider sur les braises du kanoun. C'était le temps béni d'une enfance aux plaisirs simples et pleine d'insouciance. En 1957 pour parer au manque d'école dans le village, l'armée française jeta son dévolu sur une aire à battre située à proximité de son casernement et y dressa une grande tente en guise de classe unique. Elle nous affecta comme instituteur monsieur Ruppert, un chasseur alpin d'une vingtaine d'années à peine. La première leçon qu'il nous fît et dont je me souviens, était le pluriel des mots.

Pole Jeune Sisteron