Le Microbe N Est Rien Le Terrain Est Tout
Le Microbe N Est Rien Le Terrain Est Tout Ma
Coluche a dit que le SIDA s'attrape surtout dans les journaux. Pourrait-il dire la même chose pour la pneumonie atypique la grippe aviaire et porcine? L'OMS, via les médias, entretient régulièrement des peurs en agitant l'épouvantail de soit disant virus venant du bout du monde pour envahir la planète entière. Microbes et virus ne sont rien, le terrain est tout - Le site de René BICKEL. Tout cela n'a pas de bon sens. A l'échelle planétaire, comparé à la mortalité liée à d'autres maladies ces « épidémies » ou « pandémies » sont ridiculement dérisoires. Ces syndromes sont promus au rang d'épidémie planétaire alors qu'en même temps, combien d'enfants dénutris du tiers-monde sont tués ou handicapés par des vaccins inutiles? Dans les pays développés, se sont des problèmes de santé liés à une mauvaise hygiène de vie comme l'obésité, le diabète, les cancers, maladies cardio-vasculaires qui atteignent un niveau épidémique. Il est vrai que les maladies dites contagieuses font recette dans notre monde intoxiqué par le dogme du méchant microbe au service du Dieu Argent. Le dogme de la transmission de la maladie par contact n'est pas exact car toute maladie est liée à des causes et, normalement, lorsque la cause disparaît, l'organisme se rétablit spontanément.
Les maladies dites infectieuses évoluent naturellement vers la guérison. Les décès ne peuvent qu'être imputés à la fragilisation du système immunitaire lié aux traitements médicaux et surtout à la peur. N'oublions pas que le terrain est particulièrement affaibli par nos peurs et nos croyances négatives et limitées qui nous sont inculquées depuis des siècles. Nos croyances créent notre réalité et c'est particulièrement vrai dans le domaine de la santé. Microbes et virus ne sont rien, le terrain est tout - AMESSI.Org® Alternatives Médecines Évolutives Santé et Sciences Innovantes ®. Nous avons en nous tout ce dont nous avons besoin pour vaincre la maladie, garder la santé et vivre heureux. Les expériences de Pettenkoffer Les expériences démontrent que les microbes et virus seuls ne peuvent développer une maladie. Par exemple, alors qu'il donnait un cours à l'université de Vienne, le Dr. Pettenkoffer avala la contenu d'un verre rempli de millions de germes vivants de choléra face à un auditoire ahuri auquel il s'est contenté de dire:« Voyons si j'aurai le choléra » Son assistant, de Kruif, a écrit que le verre contenait des millions de bacilles virgules se tortillant, assez pour infecter tout un régiment.