Histoire Erotique Vraie
Il y a 1 commentaire pour cette histoire Cette histoire érotique a été lue 12062 fois | Cette histoire erotique a une note de: 14/20 Noter ce récit erotique! récit réel.... c'est le début des vacances mon oncle 35 ans et ma tante 28 ans, m'invitent pour passer quelques jours avec eux. c'est trois jours âpres mon arrivée que cela a commencé. je croise mon oncle dans le couloir qui mène a la salle de bain, il venait de prendre sa douche. juste un short le couvre, il me sourit et me dit: Chris, si tu veux prendre ta douche tu devras attendre ta tante en prend une!! oui tonton, j'irai après!!! Histoire erotique vraie nature. mon oncle va dans le salon. curieux je m'approche de la salle de bain j'entrouvre doucement la porte et glisse ma tete par l'ouverture. c'est une douche a l'italienne, ma tante joelle au centre ce frotte allegrement le corps avec un gel parfumé. elle s'attarde sur ses parties intimes, elle ferme parfois les yeux en ce caressant puis reprend le lavage de son corps. c'est vraie que c'est une belle femme.
Histoire Erotique Vraie Croix
La première fois qu'elle la ramené à la maison, j'étais complètement sous le charme. Lire la suite → Voilà une histoire pas très facile à raconter en ce qui me concerne. J'ai 39 ans et je suis mariée. Mon beau-père, a connu une passe difficile avec son entreprise et a dû venir s'installer quelque temps chez nous. Au début cela ne m'a pas posé de problème si ce n'est qu'il s'est rapidement imposé dans ma vie sexuelle. Et je vais tenter de vous expliquer dans cette confession intime comment cela s'est passé. Lire la suite → Je suis marié depuis une dizaine d'années et depuis quelque temps, ma belle-mère me fait du rentre et je dois avouer que cela ne me déplaît pas. Histoire erotique vraie croix. Lire la suite → Je vais vous raconter la première fois que j'ai couché avec une autre femme. Je suis marié depuis une trentaine d'années et j'ai craqué une seule fois. Lire la suite → Navigation des articles
Histoire Erotique Vraie Histoire
M gémit de plus en plus fort, et je commence à sentir la jouissance venir. Je suis prêt à me retirer pour éjaculer surs ses fesses, lorsque M me dit de rester en elle, qu'elle a un stérilet et que je peux jouir en elle sans risque. Quelques secondes plus tard, je jouis en elle... plusieurs jets de sperme. Je me retire au bout de quelques instant, la queue légèrement molle... M se retourne et me demande de lui lécher le clito... elle n'a pas joui! Elle me dit alors qu'elle est clitoridienne, et qu'elle joui très rarement par la pénétration, même si ça lui procure énormément de plaisir... même si MA queue lui a procuré énormément de plaisir. Histoire erotique vraie histoire. M s'assoit alors sur les palettes, et écarte ses cuisses. Je me rapproche et je commence à lui lécher son clito. Elle est encore pleine de mon sperme... c'est excitant! Quelques minutes plus tard, je sens tout le corps de M se contracter et trembler de partout... elle ne peut s'empêcher de crier tellement la jouissance est intense! Puis après s'être rhabiller, M m'avoua que son mari ne lui fait pratiquement plus l'amour, mais qu'elle a de gros besoins de sexe et que finalement elle ne regrettais absolument pas d'avoir baiser avec moi... et que je l'avais fait jouir comme rarement.
Lorsque nous allions de ci et de là dans la nature, j'en arrivais à espérer qu'un voyeur nous épie. Et c'est arrivé un jour. Nous étions allés dans l'ancien fort de la ville où il y a une petite clairière entourée de voûtes. Une histoire erotique.....**** (et une histoire vraie). Je commençais à déshabiller Marie-Claude lorsque tout à coup je me suis rendu compte qu'un homme nous épiait. J'étais partagé entre deux sentiments, le primaire de jalousie en interpellant le voyeur et le faire fuir ou succomber à mon fantasme. Je me résolu d'adopter cette seconde solution mais d'abord j'entraînais quand même Marie-Claude sous une voûte à l'abri du regard du voyeur, je n'étais pas alors encore bien certain de ce que j'allais faire. Mais au fur et à mesure que je caressais et déshabillais Marie-Claude mon excitation grandissait et évidemment stimulait mon fantasme. Lorsque Marie-Claude fut entièrement déshabillée, comme pour un jeu je lui remis son manteau sur les épaules et l'entraînais hors de la voûte où je savais que le voyeur pouvait nous voir.