July 31, 2024

Une danse sans fin au rythme des vers Auteur Quelques mots de l'auteur de Poésie des rues Bonjour et Bienvenue. Je ne suis ni, poète, ni artiste. Simplement une humaine qui tente de rester en vie, à la dérive au milieu des océans de non-dits. Simplement une humaine qui tente de fuir l'anesthésie...

  1. Poésie de rentrée
  2. Poeme de reconnaissance

Poésie De Rentrée

William Blake « Auguries of Innocence » « Voir le monde dans un grain de sable et voir le paradis dans une fleur sauvage, tenir l'infini au creux des mains et l'éternité dans une heure ». (1) Novecento: pianiste. Alessandro Baricco. Folio n° 3634

Poeme De Reconnaissance

Couplets de la rue Saint-Martin par Robert DESNOS Je n'aime plus la rue Saint-Martin Depuis qu'André Platard l'a quittée, Je n'aime plus la rue Saint-Martin, Je n'aime plus rien, pas même le vin. C'est mon ami, c'est mon copain, Nous partagions la chambre et le pain, Je n'aime plus la rue Saint-Martin. Il a disparu un matin, Ils l'ont emmené, on ne sait plus rien. Udeyfa - Poésie de rue #2 - YouTube. On ne l'a pas revu dans la rue Saint-Martin. Pas la peine d'implorer les Saints, Saint Merri, Jacques, Gervais et Martin, Pas même Valérien qui se cache sur la colline. Le temps passe, on ne sait rien, André Platard a quitté la rue Saint-Martin. in État de veille, 1943 Poème posté le 24/09/17 par Ottomar Poète
À Ernest Havet. DERNIER MOT. Un dernier mot, Pascal! À ton tour de m' entendre Pousser aussi ma plainte et mon cri de fureur. Je vais faire d' horreur frémir ta noble cendre, Mais du moins j' aurai dit ce que j'ai sur le coeur. Poésie de rentrée. À plaisir sous nos yeux lorsque ta main déroule Le tableau désolant des humaines douleurs, Nous montrant qu'en ce monde où tout s' effondre et croule L' homme lui-même n'est qu'une ruine en pleurs, Ou lorsque, nous traînant de sommets en abîmes, Entre deux infinis tu nous tiens suspendus, Que ta voix, pénétrant en leurs fibres intimes, Frappe à cris redoublés sur nos coeurs éperdus, Tu crois que tu n'as plus dans ton ardeur fébrile, Tant déjà tu nous crois ébranlés, abêtis, Qu'à dévoiler la Foi, monstrueuse et stérile, Pour nous voir sur son sein tomber anéantis. À quoi bon le nier? dans tes sombres peintures, Oui, tout est vrai, Pascal, nous le reconnaissons: Voilà nos désespoirs, nos doutes, nos tortures, Et devant l' Infini ce sont là nos frissons. Mais parce qu' ici-bas par des maux incurables, Jusqu 'en nos profondeurs, nous nous sentons atteints, Et que nous succombons, faibles et misérables, Sous le poids accablant d' effroyables destins, Il ne nous resterait, dans l' angoisse où nous sommes, Qu'à courir embrasser cette Croix que tu tiens?
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